Questions orales au gouvernement : le député Aurélien Lopez-Liguori interpelle Bruno le Maire sur l’augmentation des prix du carburant

2023-01-18 1

Questions orales au gouvernement : le député Aurélien Lopez-Liguori interpelle Bruno le Maire sur l’augmentation des prix du carburant

Communiqué d’Aurélien Lopez-Liguori, député de l’Hérault

Ce mardi 17 janvier, le député de l’Hérault Aurélien Lopez-Liguori a posé une question au ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique lors de la séance de questions orales au gouvernement. Il a interpelé Bruno le Maire sur la situation intenable que vivent les Français face à la hausse des prix des carburants.

Chaque passage à la pompe est un cauchemar pour les Français ; et les mesures annoncées telles que le chèque de 100 euros ne sont pas suffisantes. Pire, elles obligent les plus démunis à mendier à peine de quoi faire un plein. Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement annonce, dans ce climat économique et social explosif, sa réforme des retraites, une réforme injuste, inutile et synonyme de casse sociale.

La réponse de Bruno le Maire est loin d’être satisfaisante. Défendant les mesurettes de son gouvernement, il n’a annoncé aucun projet durable. Au Rassemblement National, nous avons une vision alternative, autrement plus viable. Nous proposons de faire passer la TVA de 20 à 5,5% sur les produits énergétiques. C’est une des seules solutions pour protéger le pouvoir d’achat des français.

Vous trouverez ci-après le texte de l'intervention de Monsieur le député

Retrouvez l’intervention du député sur Twitter :

https://twitter.com/LopezLiguori/status/1615369052729352193

Question au gouvernement de Monsieur Aurélien Lopez-Liguori, député de la 7ème circonscription de l’Hérault

Ma question s’adresse à Monsieur le ministre de l’économie et des finances

Aujourd’hui, sur ma circonscription, au Super U d’Agde, les Agathois paient un euro quatre-vingt-cinq le litre d’essence. En moyenne les Français payent leur carburant entre un euro quatre-vingt et deux euros le litre. 

Cette situation est intenable : la France rurale souffre, la France qui travaille suffoque.

Sur ce sujet comme sur tant d’autres, votre gouvernement colmate : fini la ristourne de 30 centimes, voici maintenant le chèque carburant qui va concerner une minorité de Français. 

Hier, en une journée, plus de 850 000 d’entre eux ont demandé ce chèque, provoquant l’indécente satisfaction de Monsieur Attal. Comment peut-on être à ce point déconnecté de la réalité pour se réjouir de la manifestation la plus éclatante de la précarité des français ? Vous les obligez à venir mendier pour 100 euros soit un plein par an !

De plus, depuis novembre, le prix du baril brut baisse tandis que le prix à la pompe augmente.

Deux possibilités : soit les énergéticiens se gavent sur le dos des Français. Et alors le refus de l’extrême gauche NUPES et de la majorité, de voter notre proposition de taxation des super profits, est une trahison ! Soit c’est vous, l’Etat, qui vous gavez et dans ce cas vous êtes les artisans de la casse sociale.

D’ailleurs, en parlant d